Présentation et histoire de la NAR
Ce matin, au cours d’une conversation informelle, Bertrand Renouvin et Gérard Leclerc ont évoqué de la Nouvelle Action Royaliste (NAR) - précédemment Nouvelle Action Française (NAF).
Dans le cadre des Mercredis de la NAR, une réflexion critique sur la politique a été menée depuis maintenant plusieurs décennies (connaissant un succès considérable bien au-delà de la sphère strictement royaliste, et auprès d’intellectuels aujourd’hui renommés). Elle s’est prolongée notamment par la publication d’un bi-mensuel - Royaliste.
L’une des autres grandes réussites de la NAR est d’avoir mené plusieurs campagnes électorales, et notamment la présidentielle de 1974 - à laquelle Bertrand Renouvin était candidat, ainsi que plusieurs campagnes législatives - permettant ainsi d’installer des cadres royalistes dans des villes de province.
Le changement de nom de la NAF à la NAR à la fin des années 70 a principalement été dû à la volonté des militants royalistes de se détacher de la pensée maurrassienne et de l’héritage d’Action Française - qui ne correspondait plus à leurs objectifs politiques. Ont également été évoqués, outre le contexte historique de leurs engagements politiques respectifs (guerre d‘Algérie), les paradoxes militants auxquels il a fallu faire face au milieu des années 70, avec une crise de l’engagement politique (de la période post-Mai 68).
Bertrand Renouvin nous a fait une courte présentation du comte de Paris, indiquant que la NAR avait su retisser des liens politiques avec la famille royale, et mettre fin aux divergences stériles. Il nous a présenté le Prince comme un homme volontaire, soucieux du rôle qu’il se devait de jouer en politique - bien que son décès ait causé quelques problèmes.
De la même manière, certains choix politiques, certaines orientations notamment à l’égard d’un gauchisme critique (par l’intermédiaire de Maurice Clavel), ou lors de leur soutien à François Mitterrand, ont pu être la source d’incompréhensions chez quelques fidèles.
Toujours est-il que la NAR aujourd’hui est un lieu incontournable du débat intellectuel et de la pensée royaliste - et la venue de Bertrand Renouvin et Gérard Leclerc au CMRDS ne peut que nous encourager à dépasser les clivages inutiles et approfondir notre fidélité à l’héritage royaliste.
Dans le cadre des Mercredis de la NAR, une réflexion critique sur la politique a été menée depuis maintenant plusieurs décennies (connaissant un succès considérable bien au-delà de la sphère strictement royaliste, et auprès d’intellectuels aujourd’hui renommés). Elle s’est prolongée notamment par la publication d’un bi-mensuel - Royaliste.
L’une des autres grandes réussites de la NAR est d’avoir mené plusieurs campagnes électorales, et notamment la présidentielle de 1974 - à laquelle Bertrand Renouvin était candidat, ainsi que plusieurs campagnes législatives - permettant ainsi d’installer des cadres royalistes dans des villes de province.
Le changement de nom de la NAF à la NAR à la fin des années 70 a principalement été dû à la volonté des militants royalistes de se détacher de la pensée maurrassienne et de l’héritage d’Action Française - qui ne correspondait plus à leurs objectifs politiques. Ont également été évoqués, outre le contexte historique de leurs engagements politiques respectifs (guerre d‘Algérie), les paradoxes militants auxquels il a fallu faire face au milieu des années 70, avec une crise de l’engagement politique (de la période post-Mai 68).
Bertrand Renouvin nous a fait une courte présentation du comte de Paris, indiquant que la NAR avait su retisser des liens politiques avec la famille royale, et mettre fin aux divergences stériles. Il nous a présenté le Prince comme un homme volontaire, soucieux du rôle qu’il se devait de jouer en politique - bien que son décès ait causé quelques problèmes.
De la même manière, certains choix politiques, certaines orientations notamment à l’égard d’un gauchisme critique (par l’intermédiaire de Maurice Clavel), ou lors de leur soutien à François Mitterrand, ont pu être la source d’incompréhensions chez quelques fidèles.
Toujours est-il que la NAR aujourd’hui est un lieu incontournable du débat intellectuel et de la pensée royaliste - et la venue de Bertrand Renouvin et Gérard Leclerc au CMRDS ne peut que nous encourager à dépasser les clivages inutiles et approfondir notre fidélité à l’héritage royaliste.